Les accuses

Les accusés sont les personnes suivantes issues des secteurs industriel, militaire et politique et sont de différentes nationalités:

1. George Walker Bush, Président des États-Unis. Il est le principal exécutant politique des intérêts du cartel pharmaceutique/pétrochimique. Il est le principal responsable des crimes de guerre contre l'Irak et des autres crimes visés dans la présente plainte.
2. Anthony Charles Lynton (“Tony”) Blair, Premier Ministre du Royaume-Uni. Il est le responsable politique et l'exécutant tant pour son propre compte que pour celui de George Bush des crimes énumérés dans la présente plainte.
3. Richard Bruce (“Dick”) Cheney, Vice-président des États-Unis. Il a occupé le poste de directeur exécutif de la société pétrolière Haliburton & Company de Dallas, Texas. Après la conquête de l'Irak, Haliburton est devenue la société-clé dans le cadre du pillage économique de l'Irak tout en invoquant le prétexte de la reconstruction.
4. Donald Rumsfeld, Secrétaire à la Défense. Rumsfeld était le Directeur exécutif de plusieurs sociétés biotechnologiques et pharmaceutiques, dont le groupe pharmaceutique G. D. Searle, faisant aujourd'hui partie de Pharmacia. Pendant des dizaines d'années, il était chargé de l'organisation stratégique du "commerce pharmaceutique de la maladie". Il a été plusieurs fois récompensé par l'industrie pharmaceutique. Outre George W. Bush, Donald Rumsfeld était l'un des principaux instigateurs de la guerre d'agression contre l'Irak.
5. John Ashcroft, Procureur Général américain. Il est un des "pères fondateurs" de la Loi sur la Sécurité nationale, à savoir un des instruments organisationnels en vertu duquel les accusés privent systématiquement les droits civils aux États-Unis. Il est responsable de la législation protectionniste octroyant essentiellement une immunité à l'industrie pharmaceutique contre les crimes commis aux États-Unis.
6. Tom Ridge, Secrétaire à la Sécurité nationale. Il est complice de John Ashcroft dans le cadre du renforcement du contrôle économique et politique exercé par les accusés dans le but de poursuivre leur commerce peu scrupuleux de la maladie et de commettre d'autres crimes en privant systématiquement les droits civils aux États-Unis.
7. Condoleezza Rice, Conseillère en sécurité des États-Unis. Elle occupait le poste de directrice du groupe pétrochimique Chevron et a contribué à stimuler la guerre d'agression contre l'Irak menée par les accusés.


Dans le secteur pharmaceutique, les sociétés suivantes sont accusées:


1. Pfizer Inc., le Directeur général Henry A. McKinnell, Ph.D., les autres directeurs et le Comité de direction.
2. Merck & Co., Inc., le Directeur général Raymond V. Gilmartin, les autres directeurs et le Comité de direction.
3. GlaxoSmithKline PLC, le Directeur général Dr Jean-Pierre Garnier, les autres directeurs et le Comité de direction.
4. Novartis AG, le Directeur général Dr Daniel Vasella, les autres directeurs et le Comité de direction.
5. Amgen Inc., le Directeur général Kevin Sharer, les autres directeurs et le Comité de direction.
6. Astra Zeneca, le Directeur général Sir Tom McKillop, les autres directeurs et le Comité de direction.
7. Eli Lilly and Company, le Directeur général Sidney Taurel, les autres directeurs et le Comité de direction.
8. Abbott Laboratories, le Directeur général Miles D. White, les autres directeurs et le Comité de direction.
9. D'autres sociétés pharmaceutiques, leurs directeurs généraux, leurs directeurs et les comités de direction entretenant et stimulant le "commerce de la maladie" considéré comme investissement ainsi que d'autres crimes.


Dans le secteur pétrochimique, les entreprises suivantes et leurs directeurs sont accusés :


1. ExxonMobil Corporation, son Directeur général Lee R. Raymond, les autres directeurs et le Comité de direction.
2. British Petroleum (BP), son Directeur général Lord Browne of Madingley, FREng, les autres directeurs et le Comité de direction.
 
3. Chevron Texaco Corp., son Directeur général David O’Reilly, les autres directeurs et le Comité de direction.
4. D'autres entreprises pétrochimiques tirant un bénéfice du pillage et de la spoliation de la guerre d'agression contre l'Irak.


Les groupes financiers se dissimulant dernières ces multinationales sont :


1. Le groupe financier Rockefeller et les membres de la famille Rockefeller bénéficiant des crimes commis.
2. Le groupe Rothschild et tous ses membres bénéficiant financièrement de ces crimes.
3. Le Groupe JP Morgan et tous ses membres bénéficiant financièrement de ces crimes.
4. La Commission trilatérale et ses membres, un organisme fondé par David Rockefeller afin de coordonner les intérêts de ce groupe d'investissement dans les trois régions du monde : USA, Europe et Japon – ceci expliquant le libellé "trilatérale" – comprenant tous les membres de ces commissions considérés individuellement qui sont coupables de participer à ces crimes ou de bénéficier financièrement desdits crimes.
5. Les membres de tout autre lobby et groupes d'intérêts qui, au cours de l'enquête, seront reconnus avoir participé à ces crimes ou avoir financièrement bénéficié de ces mêmes crimes.
6. J.P. Morgan Chase Bank, son directeur général William B. Harrison Jr., les autres directeurs et son comité de direction.
7. D'autres institutions financières, leurs directeurs généraux, les comités de direction et les actionnaires et toutes autres personnes qui, au cours de l'enquête, seront reconnus avoir participé à ces crimes ou en avoir financièrement bénéficié.
8. Les politiciens ainsi que les organes politiques nationaux et internationaux qui, au cours de l'enquête, seront reconnus avoir participé à ces crimes ou en avoir financièrement bénéficié.
9. Les membres de l'armée qui ont participé ou qui, au cours de l'enquête, seront reconnus avoir participé à ces crimes ou en avoir financièrement bénéficié.
10. Les directeurs Santé de l'industrie pharmaceutique qui, au cours de l'enquête, seront reconnus avoir participé délibérément et systématiquement à ces crimes ou en avoir financièrement bénéficié.
11. Les membres des médias et d'autres qui, au cours de l'enquête, seront reconnus avoir participé à ces crimes ou en avoir financièrement bénéficié.
12. Toute autre personne, organisation ou tout autre organisme qui, au cours de l'enquête, sera reconnu avoir participé à ces crimes ou en avoir financièrement bénéficié.


Traités internationaux applicables aux fines de la présente plainte

Outre le Traité de Rome pour la Cour Internationale de Justice, les traités internationaux et déclarations suivants sont applicables pour les accusations graves visées dans la présente plainte :
  1. La Charte des Nations Unies
  2. La Déclaration des Droits de l'Homme du 8 décembre 1948
  3. La Convention de Genève des droits de l'Homme du 12 août 1949
  4. La Convention sur la Prévention et la Sanction du Crime de Génocide du 12 janvier 1951
  5. La Convention de Non-applicabilité des Restrictions légales aux Crimes de guerre et aux crimes contre l'Humanité de 1968
  6. Les principes de coopération internationale dans la recherche, l'arrestation, l'extradition et la sanction de personnes coupables de crimes de guerre et de crimes contre l'Humanité de 1973


L'autorite du tribunal penal international sur les accuses